Originaire de la région parisienne et particulièrement intéressé par les objets connectés, Samuel a rejoint l’ESEO à Angers en 2015. Son envie de découvrir de nouvelles régions françaises le pousse à rejoindre Astek à Sophia en octobre 2018 après une alternance à Orléans. Aujourd’hui en télétravail depuis l’Île-de-France, il revient avec nous sur son parcours atypique.

De mes débuts à Sophia…

Au départ, mon rêve était de vivre quelques mois dans le sud-est de la France. Je me souviens avoir d’abord été contacté par les équipes de Nantes. Ils ont su être à l’écoute de mes projets et m’ont mis en contact avec les équipes de Sophia. C’est comme ça que tout a débuté en octobre 2018. Pour commencer, il fallait que je trouve un logement sur place. Astek m’a accompagné dans cette recherche et j’avais mon appartement au bout d’une semaine. Ensuite, j’ai bénéficié d’une super intégration auprès des équipes. Coup de chance, Astek fêtait ses 30 ans quand je suis arrivé et j’ai pu faire connaissance avec toute l’agence lors de la soirée du Groupe. Mes collègues sont rapidement devenus des amis grâce aux nombreux afterworks d’équipe !

Ma première mission ? Donner des formations aux clients du Groupe pour leur enseigner l’utilisation du logiciel Adveso qui permet de gérer la durée de vie des instruments de mesure. Ce premier projet de trois mois a été particulièrement intéressant. Très jeune, j’ai dû apprendre à former et ça m’a permis d’améliorer rapidement mes soft-skills. J’ai profité de ce moment pour suivre à mon tour des formations sur l’agilité et Angular.

Après ces trois mois d’enseignement, un nouveau projet s’offrait à moi : le développement front d’applications pour les compagnies aériennes chez Amadeus. J’y travaillais avec des équipes internationales et on devait communiquer en anglais. C’est un réel avantage de perfectionner son anglais dans un milieu professionnel. Loin d’être bilingue au départ, Astek m’a proposé une formation en anglais et j’ai suivi deux cours par semaine avec un professeur particulier pendant plusieurs mois.

…à mon retour en Île-de-France

En déménageant dans le sud, je pensais rester seulement quelques mois, j’y ai finalement passé deux ans. Mon retour en région parisienne fut un pur hasard. Après avoir quitté le projet pour Amadeus, j’ai commencé un nouveau projet à Aix-en-Provence chez IT-CE, entreprise du Groupe BPCE qui s’occupe des projets numériques de la Caisse d’Épargne. En octobre 2020, à la fin de ma première semaine sur ce nouveau projet, j’avais initialement prévu de rentrer pour le week-end afin de fêter mon anniversaire. Une annonce plus tard, nous étions reconfinés. J’ai alors préféré rester aux côtés de ma famille pendant ces quelques semaines tout en étant en télétravail. Enfin quelques semaines, c’était le projet au début… Le télétravail était assez récurrent que je sois dans le sud ou à la capitale. Aussi, pour le moment, je reste donc dans la région parisienne.

On pourrait croire que ce rythme provoque un certain éloignement mais ce n’est vraiment pas mon cas. IT-CE a des bureaux à Paris dans lesquels je vais travailler et rencontrer les équipes sur place. Je retourne aussi à Aix-en-Provence de temps à temps pour les événements de l’agence. En plus, mon équipe est très joviale, on a un groupe de discussion donc je reste régulièrement en contact avec elle. J’ai aussi un call une fois par mois avec Maxime, mon manager, et je discute souvent avec lui car je l’aide à faire passer des entretiens d’embauche. Finalement, on peut dire que le télétravail provoque un éloignement physique mais pas social !