Toulouse, la ville rose !
Certes, mais aussi Toulouse, la capitale de l’aéronautique. C’est surtout pour cette raison que, suite à ma classe préparatoire, j’ai décidé de poursuivre mes études au sein d’un master en management des activités aéronautiques et spatiales à Toulouse Business School. Cette année de spécialisation, je l’ai passée en alternance chez Thales Avionics sur des sujets de marketing stratégique.
Mon idée au départ ?
Poursuivre mon expérience chez Thales Avionics dans le cadre d’un doctorat. Le Covid s’en est mêlé, j’ai annulé ce projet et je me suis décidée à me lancer sur le marché du travail avec une seule conviction : je n’imaginais ma carrière que dans le secteur de l’aéronautique. Lors de ma recherche d’emploi, je suis un jour tombée sur une offre d’emploi d’Astek pour les rejoindre en tant que Business Manager dans le secteur de l’aéronautique et du spatial à Paris. Lors de mon alternance, des consultants d’Astek travaillaient sur des projets au sein de Thales alors, forcément, l’offre m’a interpellée. Je me suis renseignée, j’ai postulé et, finalement, j’ai rejoint le Groupe en octobre 2020.
Au départ, je ne connaissais rien au métier de Business Manager mais Astek m’a laissé ma chance, je me suis accrochée et j’ai appris. Pour commencer, il fallait prospecter : appeler de potentiels clients pour prendre connaissance de leurs besoins et trouver de nouveaux projets pour le Groupe. Une fois cette première partie bien avancée, il me restait à identifier les ingénieurs auxquels proposer puis confier la réalisation de ces projets. Ayant suivi une formation commerciale et non en ingénierie, il a fallu que je travaille d’autant plus que j’avais une barrière technique à franchir. Que ce soit les clients, l’équipe de Business Managers dans laquelle j’étais ou bien mes directeurs, l’avantage, c’est que tout le monde était bienveillant et m’aidait à évoluer.
Petit à petit, je trouvais de nouveaux projets, je constituais mon équipe et je développais ma casquette managériale. Être manager, c’est assurer le suivi de carrière de mes équipes, vérifier que le projet sur lequel ils travaillent leur plait toujours autant ou encore que tout se déroule dans de bonnes conditions. Plus le temps passe, plus cette triple casquette de prospection, recrutement et management s’équilibre. Désormais, et grâce à la confiance qu’on m’a accordée, j’ai évolué au poste de Business Unit Manager et mon équipe continue de se développer, aussi par l’encadrement de jeunes Business Managers.
En somme, je me sens bien chez Astek, c’est une entreprise bienveillante et en accord avec mes valeurs. Nous ne sommes pas seulement des commerciaux mais aussi des managers et cela donne une dimension bien plus humaine à notre métier.